Aitxi Wisdomancer

Nom: Wisdomancer
Prénom: Aitxi
Surnom: Ait
Âge: 17

Race: Humaine
Classe: Princesse Guerrière

Physique: Les apparences sont parfois trompeuses... Aitxi en est la preuve vivante. Loin de ressembler aux autre guerriers de la garde royale, Aitxi ne croit pas que les armures complètes protègent réellement un guerrier. Elle croit plutôt que l'armure le ralentit et limite sa vitesse. Bref, en gros, Aitxi porte simplement des vêtements qui recouvrent ce qui doit être recouvert, ainsi que des longs gants et de longues bottes. Aitxi a également les cheveux longs de couleur bruns et des yeux d'un bleu océan. Malgré son rang, elle ne porte aucun bijou, trouvant cela plutôt inutile et encombrant.
Caractère: Aitxi est on ne peut plus simple. Sa seule phrase maître est: Ne dépendre de personne et ne laisser personne dépendre d'elle. Elle n'est donc pas sujette aux amours ou grandes amitiés. En fait, elle n'a qu'un seul ami: Son pégase, Artemis. Elle reste indiférente aux autres, ne faisant confiance à personne, même pas ses parents. Seul Artemis à sa confiance et celui-ci l'utilise parfois pour se sortir du trouble. Aitxi n'aime cependant pas les combats, encore moins les malentendus. Elle essayera donc de trouver une solution à un problème sans qu'il y ait de morts.

Armes: Épée courte, arc & flèches et dagues.
Pouvoirs: Aitxi possède le don naturel de la téléportation. Elle peut également parler aux animaux. Elle peut se rendre invisible pour de courte période de temps et ne le fait qu'en combat. (2 tours en combat) Artemis, lui, possède un don de guérison immense, mais il ne l'utilise qu'à ses fins personnels. En gros, si c'est bénéfique pour lui.
Artemis et Aitxi peuvent également communiquer par télépatie.

Histoire:
Il y a dix-sept ans, jours pour jours, je suis finalement née. Mes parents étaient les dirigeants du royaume... en gros, le roi et la reine, quoi? Ma mère fut gravement malade après l'accouchement. Heureusement, elle survécu à cette maladie. Ce n'est qu'à six ans que j'attrapai la même maladie que ma mère; une maladie inconnue. J'était faible, je ne pouvais bouger de mon lit. Ma peau était très pâle, trop pâle. C'en était inquiètant. Ils firent venir un premier guérisseur... rien à faire. Mes parents multiplièrent donc les guerrisseurs, mages, prières, soins, coûts... Ils tentèrent désespérément de m'enlever à la mort. Rien n'y venait à bout. Mes parents allaient baisser les bras quand un homme, pâle comme la mort, vint leur dire qu'un pégase se dirigeait vers ma chambre.
Dans ce monde, ces animaux sont décrits comme mystiques et bienveillants. Les pégases n'aident que rarement les gens, sauf quand ceci leur est bénéfique en tout point.
Quelques minutes plus tard, l'animal arriva. Il était d'une blancheur étonnante, sa crinière volait dans un vent invisible et inexistant. Mes parents s'écartèrent de son chemin. L'animal arriva vers moi et me regarda, comme pour penser si c'était nécessaire, s'il devait vraiment le faire. Après un instant, le pégase touche mon front de son museau.
Je me senti comme submergée d'une énergie positive, sentant la douleur me quitter. Je fermai les yeux et sombrai dans un repos réparateur.

Quelques jours plus tard, je pus à nouveau sortir dehors. Le pégase était reparti avant que je puisse le remercier. Au fond de moi, je savais qu'il reviendrait un jour... je le savais sans le savoir, comme ça. Je repris finalement des couleurs et débordai d'énergie. Mes parents étaient heureux... j'était saine et sauve.

Effectivement, le jour de mes sept ans, il revint. Ses ailes doucement repliées sur son dos, la même blancheur. N'aurait-il pas été un animal, je l'aurai cru un ange. Personne n'osa le faire reculer ou l'empêcher de m'approcher. Quand il fut arrivé près de moi, il me dit quelque chose. J'ignore d'où venait la voix, mais je savais que c'était lui. Ce qu'il m'a dit, il m'a demandé de le garder secret de tous. Je ne peux malheureusement pas vous le dire.
Depuis ce jour, j'appris clandestinement comment manier une arme, soit l'épée courte. J'appris également l'usage de l'arc et le maniement des dagues. Je regardais les gardes à l'entraînement et je reproduisais leur entraînement, tard le soir, quand tout le monde dormait.
Le pégase ne quittait jamais. Il venait avec moi, me faisant parfois monter sur son dos. Mes parents ne l'appréciaient guère, mais que voulez-vous? À sept ans, je voulais déjà être adulte, pour être libre.

Tout cela dura pendant huit ans. J'atteingnis l'âge de quinze ans. Déjà, mon père cherchait à me marier. Il fut très contrarié quand je lui appris que je ne voulais pas de mari, que je voulais être libre pour toujours, loin d'un homme avec qui je devrais partager ma vie. Seulement moi et mon pégase, que je nommai Artemis, au fil du temps.

Mon père ne voulant rien entendre, je décidai de quitter le royaume. Artemis et moi, nous volâmes jusqu'à un autre continent, très peu accueillant. J'appris à m'endurer, à tuer ceux qui venait sur mon chemin. Ce fut là que j'abandonnai la traditionnelle robe de princesse pour une tenu plus à mon style. Cette vie difficile dura deux ans. Je ne veux pas vraiment dire ce que j'ai vécu là-bas, ça ne vous regarde.... pas vraiment. Après deux ans, prise de nostalgie, je revins dans mon royaume.

J'ignore encore si je dois aller voir mon père maintenant ou non. Peut-être, un jour, j'irais le revoir, qui sait?